Une gestionnaire de la santé publique décrit les impacts positifs, économiques et autres, d’une collaboration établie avec des services de première ligne dans sa région. Elle nous parle d’un programme qui porte sur la gestion des vaccins et le suivi de la couverture vaccinale.
« Un des indicateurs qu’on suit, c’est le coût associé au nombre de vaccins périmés, altérés ou perdus. On est passé de trente-deux mille dollars de pertes, il y a deux ans, à sept mille dollars cette année. On sait que le comité provincial a établi des cibles pour minimiser les pertes. C’est donc dans notre intérêt de respecter les normes provinciales de gestion des vaccins. On fait également un suivi de la couverture vaccinale sur notre territoire, mais ça fait beaucoup de données à gérer, avec tous les rapports qui nous sont fournis. Mais ça, c’est bon signe : les gens se font vacciner. En même temps, on suit le nombre d’élèves qui reçoivent des avis de suspension de l’école – ceux qui n’ont pas de preuves de vaccination. Depuis qu’on a commencé notre collaboration, il y a environ 200% moins d’élèves qui perdent des journées d’école pour cause d’avis de suspension. »